Cette technique d’analyse est utilisée depuis plus d’une décennie par de nombreux naturopathes des pays anglophones (USA, Canada, Australie). Il y est devenu un outil de test et de prévention incontournable.
Notre sang renseigne avec précision les faiblesses et les déficiences bien longtemps avant que la maladie s’établisse. L’observation au microscope d’un frottis sanguin en temps réel, s’attache à l’étude des structures qui composent les éléments figurés sanguins : globules rouges (taille et difformités), globules blancs (structure, agencement), plaquettes (taille, forme, agglomérats), colloïdes précipités, cellules insolites, etc. Elle reflète notre « terrain », le domaine des causes profondes, là où le plus souvent se situe l’origine des symptômes. Elle met en lumière les anomalies permettant de mieux cibler la prévention ou d’expliquer des malaises actuels.
Elle peut révéler entre autres un déséquilibre acido/alcalin, une hyperviscosité sanguine, de l’inflammation silencieuse , de l’oxydation poussée, une hyper-perméabilité intestinale, la présence anormale de parasites, levures (candida), métaux lourds, une insuffisance des sucs digestifs, un déséquilibre de la glande thyroïde, un excès de cristaux, de déchets, d’acides gras, … des carences en fer, vitamines, acides gras essentiels, enzymes digestives, … et cela bien avant que les analyses de sang conventionnelles ne les détectent, ce qui en fait un vrai outil de prévention.
Cette lecture contrastée du sang vivant dirige le raisonnement clinique, corrige certaines attitudes, mais ne remplace pas la numération formule sanguine, ni d’autres informations issues de la biologie conventionnelle.
La maladie a son génie propre dont nous savons finalement très peu. La science de l’homme malade doit demeurer avant tout un problème d’observation. La lecture qualitative du sang vivant répond à ce postulat.